L'enfance d'un créateur
Petit, je démontais les réveils, les pendules, pour comprendre le pourquoi de ce tic-tac magique et pour avoir le plaisir de les remonter.
LES DÉBUTS DE PHILIPPE TOURNAIRE
Autodidacte, j’ai tâtonné longuement à partir des connaissances apprises en famille ou au cours de voyages. Au Maroc par exemple, j’ai rencontré des artisans qui travaillaient avec un outillage très rudimentaire.
UNE IMAGE QUI SE FAÇONNE
En 1984, alors que je m'étais lancé, je me dis en rentrant en voiture d’un salon à Paris : « Si j’avais une vitrine en ville ça serait bien, plutôt que les gens ne viennent que par le bouche-à-oreille ». Je me suis alors autorisé à y réfléchir, j’hésitais entre Roanne et Montbrison.
L'OUVERTURE À L'INTERNATIONAL
Aujourd’hui si je continue, c’est parce que j’ai du plaisir à être avec une équipe et j’essaie de garder cet esprit de groupe. Même s'il y a des règles à respecter, il y a toujours une bonne ambiance et ce n’est pas la corvée de venir.
la continuité différente
Je remercie tous mes clients, des plus modestes aux plus aisés, qui m'ont accordé leur confiance... et permis de réaliser cette histoire.